Il veut dès son plus jeune âge se faire moine et entrera très tôt au monastère de Rebais.
Il est ensuite nommé abbé du monastère bénédictin de Saint-Martin-de-Pontoise.
Par 2 fois, il s’en enfuira pour être seul mais à chaque fois ses moines le retrouveront et le ramèneront. Même le pape l’obligera à revenir chez lui.
Après sa mort, des miracles se feront sur sa tombe. Il sera canonisé par les évêques de la province en 1153.